Les écrits se suivent, poèmes, romans, pensées de toutes sortes, et surtout recherche de techniques diverses en matière de couleurs.
Les huiles traditionnelles laissent place à des pigments plus spécifiques : “Il faut que la matière soit plus lisse encore, plus transparentes comme une teinture… Je veux voir la toile de lin apparaître… Comme une évidence… loin des couches épaisses d’huiles, et de vernis… Ce sont des glyphes que je veux… Des dessins qui s’apparentent aux rêves… A l’essentiel en fait…”
C’est à ce moment là qu’il commence sa nouvelle période, celle, où plus serein, dans un total bonheur de création, il démontre alors tout son art, en poussant les limites du possible du symbolisme sans entrer dans l’absolu du religieux.
Sa mysticité est découverte, donnée comme en cadeau… Offrande suprême d’un écorché vif à la joie permanente et au rire communicatif.
La philosophie qui l’habite est celle d’un enfant, si sûr de l’au delà, si sûr du mot Amour, que cela transpire dans ses œuvres, si techniques de cette période.
Jacques Sourth a enfin inventé, ou sorti du fond de lui, le Vrai, le Pur.