De père ébéniste, et de mère mannequin, il arrive tardivement sans être attendu, après 5 sœurs.
(Le premier garçon avant lui, Pierre, est mort à la guerre à l’âge de 17 ans).
Il se démarque très vite du cercle familial, avec un goût prononcé pour la liberté.
Il grandit dans la cité thermale, y fait sa scolarité, en montrant déjà des aptitudes certaines pour le dessin.
En 1965 sa soeur Lisa (40 ans) décède, suivie de peu par sa mère. Ces deux chocs émotionnels le poussent à quitter sa ville natale. Il se rapatrie chez une de ses soeurs dans les Cévennes, et au Grau du Roy. C’est là son premier contact avec la méditerranée.
Il finira en 1975 par s’installer définitivement dans l’Hérault.
Sa thérapie, il l’a connaît déjà : dessiner, écrire, peindre…
Il ne revient à Luchon qu’en 1979.
Bien des années plus tard, il écrit ses mémoires d’enfant dans un ouvrage intitulé : “Face à la rue de l’étoile“.